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Retour sur la journée des serviteurs

Retour sur la journée des serviteurs

« Dieu vit que cela était bon » ; traduisez en langage Paroisses Cathédrale: « De-nis que cela était bon ». Oui qu’il était bon ce topo de Denis lors de la journée des serviteurs le 12 octobre dernier au Caousou. Topo qui nous a permis avec beaucoup d’humour de plonger dans l’historique et les particularités de chacune de nos paroisses. À l’image de toute cette journée. Des rires, enseignements, temps de prière ; l’Eucharistie; des jeux, temps de réflexion et de partage pour repartir avec des pistes concrètes afin de servir avec plus de justesse et plus d’amour. Mieux connaître les services de nos frères pour mieux nous aimer et mieux servir le Christ. Car c’est Lui qui est la tête nous enseignait le père Jean-Jacques.

C’est Lui que chaque baptisé est appelé à suivre. C’est pour Lui que prêtres et laïcs collaborent étroitement, avec, chacun à sa place, la même dignité. Nous sommes tous appelés à la sainteté dans la gérance des choses temporelles. Et Dieu vise le contact avec chaque être humain; contact rendu possible par le ministre ordonné. Le prêtre reçoit un pouvoir sacré pour unifier Dieu et les hommes. C’est ainsi qu’en fin d’après-midi, les serviteurs réunis en pôles ; les pôles charité, jeunesse, prière, catéchuménat, baptême, formation, accueil, liturgie, mission, famille, funérailles, communication, et administration; ont reçu la bénédiction des pères Simon, Grégoire et Jean-Jacques afin d’être fortifiés et renouvelés dans leurs services.

Cette bénédiction est venue clôturer la journée. Et juste avant nous avions échangé sur les pas concrets que nous pouvons faire pour mieux annoncer le Christ dans nos services. Écouter, se former, accueillir, témoigner, et surtout prier. « Prier avant de passer un coup de téléphone pour mon service » ; « prier pour les enfants qui me sont confiés » ; « partager l’évangile du dimanche » ; « prier ou proposer de prier avec les personnes qui passent à la Daurade lorsque je fleuris ». Si nous l’avions oublié, « sans moi vous ne pouvez rien faire ».

Bénédicte de Kergommeaux